On ne lui donnait pas six semaines... et on dirait qu'elle a toujours été là. La grâce avec laquelle elle accompagnait chacun de ses mouvements d'un déhanché à l'ampleur sauvage faisait douter de tout, aujourd'hui, il fait rêver. Sa faiblesse pour les gros bras faisait craindre une concurrence déloyale pour les clientes de la MaiZon, ses échecs répétés pour se mettre à la colle avec l'un d'eux lui ont valu l'indulgence de tous. Enfin, sa dextérité à servir 27 demis en 27 secondes lui ont valu les suffrages des plus réticents au changement. Welcome aboard Fab, notre nouveau barman.
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